Ebook gratuit La Princesse de Clèves
Il croira quand vous visitez choisir ce livre. Cet impressionnant La Princesse De Clèves e-book peut être lu complètement en temps notamment en fonction de la fréquence à laquelle vous simplement ouvrir ainsi que les lire. Un garder à l' esprit est que chaque e-book a leur propre production à acquérir par chaque visiteur. Alors, soyez le grand lecteur et être une personne beaucoup mieux après avoir lu ce livre La Princesse De Clèves
La Princesse de Clèves
Ebook gratuit La Princesse de Clèves
Avez-vous entendu que la lecture peut favoriser l'esprit de bien travailler? Certaines personnes croient vraiment avec ce cas. Néanmoins, de nombreuses personnes ajoutent que ce n'est pas sur la lecture. Il doit faire exactement ce que vous pouvez prendre le message et l'impact du guide que vous consultez. Eh bien, pourquoi pouvez-vous croire en faisant cela? Cependant, nous nous assurons que la lecture par la méthode et pourrait sage amener les spectateurs à lire efficacement.
Ce livre La Princesse De Clèves traite de la vie vous feriez mieux qui peut se développer plus la qualité de la vie. Ce La Princesse De Clèves est juste ce que les individus ont besoin actuellement. Vous êtes ici et vous pourriez être précis et aussi sûr d'obtenir cette publication La Princesse De Clèves Ne jamais question pour l' obtenir même c'est tout simplement une publication. Vous pouvez obtenir ce livre La Princesse De Clèves comme l' un de vos compilations. Mais, pas la collection à afficher dans vos étagères. Cette publication est précieuse pour être revue compilation.
Juste comment est en vous assurant que ce La Princesse De Clèves ne sera pas montré dans vos étagères? Ceci est un livre de données souple La Princesse De Clèves, vous pouvez télécharger La Princesse De Clèves en acquérant pour obtenir le fichier mou. Il vous soulager de lire chaque fois que vous avez besoin. Lorsque vous vous sentez paresseux pour déplacer la version imprimée de la maison au bureau à un endroit, ce fichier doux vous réduit pas à le faire. En raison du fait que vous ne pouvez conserver les informations sur votre matériel informatique et Gizmo. Ainsi, il vous permet de lire partout où vous avez envie de lire La Princesse De Clèves
Eh bien, quand d' autre vous localiser cette possibilité d'obtenir ce livre La Princesse De Clèves fichier doux? Ceci est votre bonne occasion d'être ci - dessous ainsi que d' obtenir ce livre formidable La Princesse De Clèves Ne jamais laisser jamais ce livre avant de télécharger ce fichier souple de lien dans web La Princesse De Clèves que nous fournissons. La Princesse De Clèves va réellement faire une grande quantité pour être votre copain dans votre solitude. Il sera certainement le meilleur compagnon pour stimuler votre entreprise ainsi que passe - temps.
Détails sur le produit
Broché: 159 pages
Editeur : J'AI LU (14 juillet 2003)
Collection : LIBRIO LITTERATURE
Langue : Français
ISBN-10: 2290336661
ISBN-13: 978-2290336663
Dimensions du produit:
13 x 1 x 20,3 cm
Moyenne des commentaires client :
4.2 étoiles sur 5
108 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
1.056 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
1678. Le premier roman moderne de la littérature française, peut-être ennuyeux et désuet pour certains, un bijou pour d'autres... En tout cas, un ouvrage où l'évolution du sentiment amoureux est décrit avec une finesse restée inégalée, dans un style qui - s'il est tributaire de la langue de son siècle - manie le français avec une élégance rare : point de fautes d'orthographe donc, dans cette version pour laquelle il faut remercier les e-books de France, mais les tournures grammaticales et lexicales du XVIIe siècle. La description de la montée des sentiments dans un monde qui n'existe plus (?), mais qui est moderne pour son temps, met en scène ses acteurs principaux (le mari, la femme et l' "amant") et secondaires (les membres de la cour de France). C'est peut-être un des meilleurs livres d'analyse psychologique du sentiment amoureux écrit à ce jour. Et s'il vous ennuie, attendez, refermez et rouvrez plus tard. Sinon, ce livre se déguste avec lenteur, avec délice, avec bonheur.
La Princesse de Clèves/ Madame de La Fayette (1634-1693) « La magnificence et la galanterie n’ont jamais paru en France avec tant d’éclat que dans les dernières années du règne de Henri le second. » Ainsi commence l’histoire de la Princesse de Clèves, un des romans les plus célèbres du XVIIe siècle. Paru en 1678 sans nom d’auteur, ce roman précieux, historique et d’analyse se passant à la cour des Valois au XVIe siècle connut immédiatement un succès retentissant et reste de nos jours un des plus beaux romans d’amour de la littérature française. Madame de La Fayette, de son vrai nom Marie-Madeleine Pioche de la Vergne comtesse de La Fayette, fut l’amie de La Rochefoucauld et de Madame de Sévigné. Petit rappel historique. Henri II, duc d’Orléans et de Bretagne, second fils de François Ier et de Claude de France naquit en 1519, et régna de 1547 jusqu’à sa mort en 1559, survenue de façon accidentelle lors d’un tournoi (contre Montgomery, capitaine de la garde royale), organisé pour le mariage de sa fille Élisabeth avec Philippe II roi d’Espagne. Epoux de Catherine de Médicis il avait une première favorite en la personne de Diane de Poitiers, duchesse de Valentinois dont la reine, dissimulatrice, ne sembla jamais jalouse. Diane de Poitiers avait été la maitresse de son père François Ier et l’était encore de bien d’autres comme le comte de Brissac. Henri II accéda au trône en 1547 suite à la mort de son frère aîné François le dauphin en 1536. Il était un séducteur et aimait le commerce des femmes. Hélas sous son règne débuteront les terribles guerres de Religion. L’histoire, mais tout d’abord une précision sémantique importante à savoir qu’au XVIIe siècle le mot « amant » signifie seulement « celui qui aime » sans connotation sexuelle comme de nos jours. Arrive un jour à la cour une vertueuse beauté âgée de quinze ans qui attire les yeux de tout le monde, une beauté parfaite issue de la Maison de Chartres. Orpheline de père, elle est élevée par Mme de Chartres sa mère qui ne se contente pas de lui apprendre à cultiver sa beauté et son esprit mais fait tout pour lui donner en plus vertu et amabilité. Chez un bijoutier italien elle est remarquée par le prince de Clèves, un homme respectable et de haute naissance, ami de François de Lorraine duc de Guise. Il est séduit par sa beauté et ne voit d’autre issue pour la revoir que de se confier à Madame, la sœur du roi, qui a une grande influence à la cour et qui organise la rencontre. Par la suite Mlle de Chartres devient la favorite de la Reine dauphine, Marie Stuart l’épouse du dauphin fils ainé du roi, et fréquente Mesdames filles du Roi et fait l’unanimité à la cour, excepté auprès de Madame de Valentinois, la favorite du Roi. Passionnément amoureux, le Prince de Clèves d’un statut social plus élevé que celui de Mlle de Chartres, désire ardemment l’épouser. Ce que sait hélas aussi le prince, c’est que son ami le chevalier de Guise en est lui aussi amoureux depuis le premier jour qu’il l’a vue. Et puis le père du prince, le duc de Nevers est aussi un obstacle probable de par son étroite relation avec Madame de Valentinois ennemie de la maison de Chartres. Il faut dire qu’à la cour, l’ambition et la galanterie sont source de cabales et de jalousies, de commérages et d’intrigues amoureuses et politiques.« …On n’y connaissait ni l’ennui, ni l’oisiveté, et on était toujours occupé des plaisirs ou des intrigues…Ainsi il y avait une sorte d’agitation sans désordre dans cette cour, qui la rendait très agréable, mais aussi très dangereuse pour une jeune personne. » La mort du duc de Nevers son père laisse le champ libre au Prince pour demander en mariage Mlle de Chartres, mais avisé, « il eut préféré le bonheur de lui plaire à la certitude de l’épouser sans en être aimé. » Car il apparaît que la demoiselle n’éprouve aucune inclination particulière pour le Prince, son sentiment étant d’estime tout au plus. Quoi qu’il en soit, le mariage se déroule au Louvres, mariage qui donne au Prince des privilèges mais pas davantage de place dans le cœur de sa femme. À la cour la beauté de Mme de Clèves ne laisse de susciter de l’admiration et Jacques de Savoie duc de Nemours, grand séducteur, homme brillant de retour de Bruxelles ne peut qu’être surpris par sa beauté et lorsqu’il fut proche d’elle et qu’elle lui fit la révérence, il ne peut s’empêcher de donner des marques de son admiration, et en peu de temps faire une grande impression dans le cœur de Mme de Clèves. « Se voyant l’un et l’autre ce qu’il y avait de plus parfait à la cour, il était difficile qu’ils ne se plussent infiniment. » Sur son lit de mort Mme de Chartres rappelle ses devoirs à sa fille et ce qu’elle doit à son époux, la met en garde quant à sa réputation si elle se laisse séduire par le duc de Nemours. Des récits secondaires viennent se greffer sur l’intrigue centrale et illustrent la thèse centrale en attirant l’attention sur les désordres de l’amour. Ainsi la seconde partie de ce récit cite entre autres la conversation que tient M. de Clèves à sa femme au sujet de la relation entre Mme de Tournon et son amant M. de Sancerre, (ami de M. de Clèves), qu’elle trompe avec M. d’Estouville. Leur projet de mariage semble prendre mauvaise tournure car M. de Sancerre n’est pas un parti assez bon pour elle. De retour de voyage M. de Sancerre apprend et la mort subite de Mme de Tournon et son infidélité et se confie à M. de Clèves. Également est évoquée par la reine Dauphine, Marie Stuart, à l’intention du duc de Nemours, la vie de Anne Boulen (ou Boleyn) qui fut la seconde femme de Henry VIII d’Angleterre, reine consort de 1533 à 1536 et mère de la reine Élizabeth I ère. Née en 1501, son mariage avec Henry VIII est à l’origine de la réforme anglaise, Rome tergiversant pour accorder le divorce à Henry d’avec Catherine d’Aragon. Accusée injustement de trahison, d’adultère et d’inceste avec son frère le vicomte de Rochefort, elle fut décapitée en 1536. On ne peut que remarquer dans ce roman qui est aussi une peinture des mœurs de l’époque la précision du style dans l’action et la subtilité de l’analyse du caractère des personnages et des passions qui les animent. On peut dire que Madame de Lafayette a su concilier dans cette œuvre la subtilité romanesque de l’esprit précieux et la vérité sobre et éternelle du classicisme. Les situations sont souvent compliquées et parfois invraisemblables. Dans la troisième partie, on découvre la lutte de Mme de Clèves avec des rebondissements incessants pour ne point succomber au charme du duc de Nemours, quitte à s’éloigner un temps de la cour après avoir avoué à son époux qu’un prince de la cour, sans en citer le nom, la poursuit de ses assiduités et qu’elle en est touchée de passion. Le duc de Nemours dissimulé derrière une porte assiste à la confession de la princesse. La jalousie de M. de Clèves va grandissante malgré la grande marque de sincérité que constitue l’aveu de son épouse. Garder le secret est le plus difficile, et des bruits courent … Mais Mme de Clèves se refuse au duc de Nemours autant par souci de sa tranquillité que par respect de son devoir d’épouse. Et puis elle lui en veut de son manque de discrétion et de son imprudence dont il s’afflige in fine : elle sait qu’elle a eut tort de croire qu’il y eût un homme capable de cacher ce qui flatte sa gloire. La troisième partie se termine sur la mort du roi lors du tournoi organisé lors du mariage de sa fille. Après la mort du roi, la cour change complètement de face pour passer aux mains des Guise par l’intermédiaire du cardinal de Lorraine Charles de Guise qui devient le maître des finances, avec l’arrivée du duc de Guise aux commandes des armées. Le connétable du roi, M. de Montmorency est le premier écarté, puis c’est le tour de Diane de Poitiers. A lieu à Reims le sacre du nouveau roi, François II, fils de Henri II, et époux de Marie Stuart. La mort de M. de Clèves qui plonge Mme de Clèves dans une douleur et un abattement indicibles, ne laisse pas de donner espoir au duc de Nemours de conquérir définitivement le cœur de la princesse, mais c’est sans compter sur le goût du sacrifice qui habite Mme de Clèves pour honorer la mémoire de son mari. Elle va prendre une décision irrévocable en accord avec son sentiment du devoir bien que son amour pour le duc de Nemours n’ait faibli. En définitive c’est une vue pessimiste du monde et la négation de la possibilité d’atteindre le bonheur malgré les apparences qui domine dans ce magnifique récit. L’influence du jansénisme sur le caractère de la princesse est évidente, qui met en lumière le fait que l’amour mène à la perdition et à la mort selon un destin inexorable qui nie la notion de liberté humaine. En conclusion, un chef d’œuvre éternel.
En dehors d'un certain Président français qui voulait que l'on retirât la Princesse des écoles pour son inutilité et son ennui profond, il existe des récidivistes de la littérature et des sentiments qui restent attachés à la beauté de l'écriture et de l'amour. Aujourd'hui, plus que jamais, il faudrait toujours céder aux modes, à la rentabilité et à la facilité. Or on peut aimer Marc Levy et la Princesse de Clêve. L'amour immédiat entre la princesse et le duc de Nemours peut parler à nombre de lecteurs jeunes ou moins jeunes. Il est parfois très agréable de sortir des sentiers battus et se laisser porter par une histoire éternelle fut elle rédigée dans une langue du XVIe siècle.
Pour une élève de seconde. Cela m’a a donné envie de le relire. J’avoque que je n’avais pas apprécié en seconde moi-même. Cette fois j’ai apprécié cette histoire. Cela m’a replongé dans l’histore de France avec bonheur. Bonne qualité du support
Magnifique écriture, on ne peut que tomber sous le charme et cela fait très bien passer le contenu, qui sans cette exceptionnelle habileté de la langue, pourrait passer pour un recueil de potins mondains. C'est donc là tout le génie, de nous faire apprécier par la littérature, un contenu qu'on ne savourerait sous aucune autre forme.
J'ai été intéressé par un chapitre du livre très récent d'Alain Finkielkraut : "L'amour peut-il durer ?", livre dans lequel il prend plusieurs exemples littéraires. Dans La Princesse de Clèves, l'héroïne révèle à son mari l'inclination très forte qu'elle éprouve pour le duc de Nemours, mais ne succombe pas aux avances de ce dernier. Le mari meurt (de jalousie sans doute). Devenue libre, sa jeune veuve va-t-elle accepter d'épouser Nemours ? Eh bien non ! Elle refuse et entre au couvent ... Par dignité d'abord (c'est à cause de cette histoire qu'elle est devenue libre) mais aussi, et c'est ce qui intéresse Fink, parce qu'elle pense qu'une fois mariée, l'amour ne durera pas, que Nemours la trompera, et qu'elle souffrira ...Le livre est conforme à cette analyse de Finkielkraut, mais ce qui m'a fortement frappé, c'est l'extrême liberté sentimentale et sexuelle de tous les courtisans de la cour de Henri II (vers 1560-70), où l'action se situe !
Un livre qui mérite son prix pas cher .... La mise en page n'est pas terrible, livre de mauvaise qualité. Pas très grave au vu de l'usage fait par ma fille pour le Bac.
Livre reçu en bon état, et aussi très rapidement, donc rien a dire de négatif, à part que la couverture arrière a été légèrement pliée, mais franchement, ce n'est rien. Donc si vous voulez vous l'acheter, allez-y 😉 En plus au vu du prix, ça vaut le coup 😊
La Princesse de Clèves PDF
La Princesse de Clèves EPub
La Princesse de Clèves Doc
La Princesse de Clèves iBooks
La Princesse de Clèves rtf
La Princesse de Clèves Mobipocket
La Princesse de Clèves Kindle
0 comments:
Post a Comment